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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 18:55
Kaballe Droite et cercle  immanence et transcendance

 

http://www.toumanitou.org/toumanitou/la_sonotheque/cabale/la_droite_et_le_cercle/cours_1

Durée : 30,3 minutes
Face B

 

…/…

Du point de vue philologique, la notion de création en hébreu c’est Baro (Beit-Resh-Vav). Ce même mot existe en araméen. Et en araméen cela veut dire « mettre en dehors » – « faire fils ». Alors qu’en hébrau cela veut dire « créer à partir du néant ». Si la Torah était donnée en araméen, la théologie serait différente. Ce serait une théologie du pére et du fils. Mais il s’agit de la théologie du créateur et de la créature et non pas de Dieu le père et Dieu le fils. Mais du Créateur comme père, c’est le 1er mot de l’alphabet hébraïque Alef-Beit qui fait Av et puis du monde comme Béré De Kudsha Brikh Hou comme dit l’araméen : la créature comme fils du Créateur.

Effectivemment, on a en araméen cette connotation de la racine Baro qui signifie « mettre en dehors », « faire exister ». En latin, ek-sistere.

Le chant du vendredi soir :

חיוות ברא ועופי שמיא

Heivat bara ve ofei shemaya

C’est en araméen, je vous le dis en hébreu : ‘Hayot HaSadeh Vé Of Hashamayim

Les bêtes du champ : le champ Bara en araméen ce qui est en dehors de la ville.

C’est cette notion de faire fils. Bar en araméen.

 

La relation entre le Créateur et la créature c’est la relation de la filialité dans les engendrements. C’est la mentalité magique païenne grecque qui a inversé tout cela et a parlé de Dieu le père et Dieu le fils. J’ai même entendu une fois un kabaliste chrétien : Bara Rashei Tévot Ben Roua’h Av…

 

Il y a évidemment cette notion où nous allons voir l’Être de Dieu donner l’être au monde, dans une relaiton de filialité.  Nous étudierons que le problèmedu récit historique de l’humanité pour la Torah c’est la recherche de la fraternité. Et puis, la relation de fraternité a été impossible à réussir : Qayin ayant tué Hével, Dieu a suscité la relation du père au fils qui est plus accessible à une solution. La rivalité entre les frères est incontournable, la fraternité n’a pas encore réussi, le problème n’a pas encore trouvé de solution. Nous attendons le fils de David qui s’appelle Shlomo l’homme de la paix. Tout le récit biblique est une série de récits de tentatives de résolution de fraternité entre frères ou demi-frères. Et ce la échoue. Alors que dans la relation père-fils, si l’autre c’est le fils vis-à-vis du pére, la relation au fils n’est pas dangereuse. Chez les Grecs elle l’est. Cf Œdipe. Mais si l’autre c’est le fils, alors peut-être qu’à travers la relation au fils on va sauver la relation au frère.

Cela touche aux mystères chrétiens : Pour arriver  à l’amour du prochain il faut passer par l’amour du fils. Mais c’est dans les catégories étrangères à la mentalité biblique.

 

L’espace du monde a existé et il y a dans la Kaballah toute une série d’étude sur ce point de l’être de l’origine qui a été néantisé pour que le monde puisse exister.

Voilá que le vide est apparu. Ce vide, beaucoup plus tard, sera appelé Maqom l’endroit. Et c’est la lumière qui entoure le vide qui est en réalité le Maqom de ce Maqom, cela vous fait comprendre pourquoi en se référant à Dieu on l’appelle le Maqom du monde. Parce que c’est au sein de Dieu que le monde est en gestation. D’où d’ailleurs cette figure de l’embryon dont je vous parlais tout á l’heure. 

Première définition d’une catégorie de la Kaballah qui est le Tzimtzoum, c’est l’évidement pour laisser place au monde. Et là c’est un sens particulier du verbe Letzamtzem – contracter. C’est le sens talmudique du mot Tzimtzóum. Par exemple, la Shekhinah qui se contracte pour résider entre les Kerouvim. Mais dans le Tzimtzoum de la Kaballah il s’agit de l’inverse. C’est un mouvement qui va du centre à la périphérie. Un mouvement d’évidement.

A partir d’un point de l’absolu - ce n’est pas un point du Eïn-Sof mais du Or Eïn-Sof – de la lumière infinie, et peut importe où parce qu’en fin de compte à partir de ce point à travers une infinité de mondes, c’est le cœur de chaque homme, et donc peu importe où ce point est apparu parce que chaque homme est le centre du monde.

Il y a cette force d’évidement qui va rejeter la lumière qui était dans ce point primmordiale, que les Kabalistes appellent Hanéqoudah Haemtzaït et elle va le rejeter à l’exterieur. Mais c’est impossible parce que la lumière extérieure est une substance simple, comme disent les phislosophes, et la substance simple ne supporte pas la complexité. Et par conséquent, elle rejette dans ce ‘Halal immédiatement la lumiére retirée. Donc le monde ne peut pas exister. Il faut que soit suscitée une force qui empêche la lumière de revenir dans le ‘Hallal. Cette force s’appelle en hébreu Shadaï. Et c’est ce qu’on traduit par Tout-Puissant. La Gevourah, la vaillance du Créateur qui se retient de laisser sa lumière envahir l’espace du monde.

En français on pourrait dire poétiquement que le premier nom de Dieu c’est le Dieu des limites. La limite entre Sa divinité et le monde. C’est une force gigantesque qui est là et qui est l’abri du monde. Si cette force ne joue pas le monde est détruit, envahi par Dieu, l’Être absolu. 

 

Je crois que dans notre existence, le geste que cela représente est de se retenir d’avaler l’autre. C’est le danger de l’amour non contrôlé par la sagesse… C’est païen. Je t’aime tant que je ferais de toi mon repas sacré…

 

C’est cette force que lø’on appelle la Gvourah, la vaillance de Dieu : avoir mis une limite entre sa divinité et son monde. Cette force joue à la périphérie de ce vide et s’appelle Shadaï. C’est uen Gvourah. Une vaillance qui consiste à être plus fort que soi pour qu’il y ait place pour le fils, c’est-à-dire le monde.

 

Le Midrash donne 3 explications du mot Shadaï.

Celle qui nous concerne : Shéamar léolamo Daï vé el Elakouto Daï : Celui qui a dit jusque là à Son monde et jusque là à Sa divinité. Il y a une limite.

 

Parenthèse folklorique : Chez les nord-africains ou les séfardes, lorsqu’un danger survient, un malheur risque d’arriver la grand-mères dit tout de suite : « Shadaï ! » Elle fait appel à cette force qui met une barrière entre l’absolu et l’être relatif du monde pour que cette force joue. Et elle joue !

Certains font appel à Rabbi Shimon Bar Yo’haï, d’autres à Rabbi Méïr. Et puis le danger est écarté.

C’est un folklore qui risque de disparaître.

 

Les Grecs ont pressenti l’existence de ce mystère à l’abri duquel le monde existe.

C’est le nombre Pi. Le mystère du nombre Pi, la relation entre la droite et le cercle.

Effectivement, le nombre Pi exprime cette chose inexprimable la relation entre le rayon et la circonférence. On sait que cette relation est réelle et existe, qu’elle est le secret des formes du monde, mais on ne peut pas la chiffrer, c’est un inommable. Or, la valeur numérique de Shadaï est 314. Shin 300 Dalet 4 et Youd 10. Shadaï c’est le nombre Pi !

Il y a une allusion dans le texte biblique avec l’ange à l’épée tournoyante qui trace la circonférence avec un rayon, et qui protège le paradis perdu du monde de l’existence.

C’est cette barrière qui est le nombre Pi. J’y reviendrais d’ailleurs plus en détail quand je parlerais du cercle et de la droite.

 

Pour que le ‘Hallal ne soit pas détruit, c’est la 1ère fois qu’on emploie ce terme de ‘Horban - détruire l’espace du monde. Pour empêcher l’absolu de faire irruption dans le monde, il faut qu’il y ait une force qui est la vaillance de Dieu qui retienne l’absolu de revenir dans le ‘Hallal.

Cette expression dans le Talmud qu’on a entendu la Torah Mi Pih HaGvourah, cela s’éclaire maintenant. La racine de cette Torah qui nous est révélée, c’est Gvourah, cette vaillance qui fait que pour Dieu le monde peut exister, cette Torah-là nous a été donné à nous, à chacun il faut faire une place pour l’autre. Là on va rejoindre Lévinas.

Vous voyez comment les expressions traditionnelles ont un sens simple. La Torah est révélée de la bouche de la vaillance. Mi Pih HaGvourah. La Torah concerne notre monde, et réclame d’abord comme vertu d’être Guibor, d’être plus fort que soi pour créer l’autre. L’acte moral par excellence c’est s’occuper d’autrui. Plus absolu que cela c’est faire exister autrui.

Quand Dieu créé le monde c’est un acte moral et non un acte métaphysique.

 

Les Grecs vont disserter sur l’impossibilité de cet acte métaphysique et vont donner congé à Dieu parce qu’ils ne lui trouve pas de place dans le monde. Mais le vrai problème c’est la place du monde dans Dieu, c’est-à-dire l’inverse. Voyez pourquoi il faut recommencer à penser hébreu.

 

Les Juifs étaient d’origine hébraïque, l’assimilation c’est quand on est plus d’origine hébraïque. Le problème des Israéliens c’est qu’ils sont d’origines juives et qu’ils risquent d’oublier leurs origines juives. Vous voyez le drame de ce peuple pas possible. Quand il est juif, il oubli qu’il est hébreu, et quand il est hébreu il oubli qu’il est juif…

 

Voilà que l’espace du monde est désert.

Et le souffle de Dieu voletait à la surface des eaux, et l’obscurité à la face de l’abîme.

C’est le Pshat de la Torah. 

Alors il y a u cri qui apparait « que la lumière soit ! ».

Qui est-ce qui crie ?

C’est ce vide qui crie !

Imaginez le cri qui procède de ce ‘Hallal et qui dit : Yéhi Or !

Alors, la lumière revient… Mais elle ne revient pas comme elle était partie parce que si c’était le cas, elle détruirait le ‘Hallal. Alors il y a un 2ème Tsimtsoum qui se fait dans le rayon de lumière qui va pénétrer dans le ‘Hallal, pour en fin de compte construire le monde.

Et ce Tsimtsoum il n’est pas comme le 1er Tsimtsoum itroknout évidement, c’est un Tsimtsoum de Hitmaatout התמעטות  amoindrissement.

Parce que si la lumière revenait dans sa plénitude, dans son Tokef comme on dit en hébreu, elle détruit le ‘Hallal. Alors elle revient mais atténuée à l’infini. Un rayon.

Et ce rayon va pénétrer dans le ‘Hallal.

 

Voilà comment l’impossibilité de l’existence du monde a été résolue par le Créateur.

La lumière est retirée d’un point de l’absolu : l’espace du monde apparait. Elle revient avec une histoire de constitution d’un monde qui en fin de compte sera l’autre que Dieu. Pour le moment nous sommes au stade embryonnaire de la constitution de cet autre que Dieu qui est notre monde en cours d’histoire. Et cela il faut bien le percevoir pour la pensée kabaliste le monde n’est pas encore. Il existe en constitution d’être. En hébreu pour dire l’histoire on dit les engendrements. Quelque chose est en train de s’engendrer. Et alors nous sommes en cours de cet engendrement. Les Kabalistes savent à quel stade.

 

On est dans l’année 5756, c’est très proche de 6000. Et après 6000 c’est 7000. A la fin des 6 jours il y a le 7ème.

 

Si vous n’avez pas compris laissez vous traverser.

Un jour à l’un de mes maîtres, j’ai dit : je n’ai pas compris !

Il m’a répondu : Ce n’est pas grave, ton âme a compris. Elle va t’expliquer…

Et alors la nuit, votre âme vous expliquera…

Mais vous avez compris, vous faites Shabat…

Un peu avant la nuit, donc faites la proportion, vous verrez qu’on est déjà dans Erev Shabat.

Erev 70-200-2.

Enlevez 272 de 6000 cela fait : 5728 !

C’est l’année d’après la guerre des 6 jours !

En hébreu c’est l’année Ha-TashKa’h.

Il y a un verset dans le prophète (Isaiah 49:15) :

HaTishka’h Isha Oulah…

 

הֲתִשְׁכַּח אִשָּׁה עוּלָהּ, מֵרַחֵם בֶּן-בִּטְנָהּ; גַּם-אֵלֶּה תִשְׁכַּחְנָה, וְאָנֹכִי לֹא אֶשְׁכָּחֵךְ.

Est-ce qu'une femme peut oublier son nourrisson, ne plus aimer le fruit de ses entrailles? Fût-elle capable d'oublier, moi je ne t'oublie point!

 

Etudiez bien ce prophète et vous verrez qu’on ne nous a pas oublié cette année-là… !

 

Il y a un engendrement qui est en train de se faire : l’histoire du monde comme l’autre que Dieu que Dieu engendre dans ce ‘Hallal. Et on est tout au début du commencement de ce processus dans cette description.

 

***

 

Q : La Gvourah divine qui doit surmonter sa force pour faire place à l’autre : n’y-a-t’il pas une autre gvourah car celui qui laisse une place à l’autre, il le fait souffir aussi ?

R :  Si vous saviez à quel point un embryon souffre !

Q : Ce que je veux dire c’est que le paradoxe du paradoxe c’est que quand on donne à quelqu’un il arrive que le don que l’on fait bizarrement le fait souffir ?

R : Exact. Là vous êtes en plein dans le sujet. Plus loin dans le discours kabaliste cette question là est la vraie question. Nous naissons d’Egypte, l’Egypte nous a mis au monde, et c’est un accouchement au forceps. Mais imaginez cette difficulté d’être de l’être en train d’être engendré. C’est Mitsraïm de la racine Metsar : du dedans de la matrice resserrée. On est dans ce processus. Effectivement, la première question que nous posons à nos maîtres c’est cet acte d’amour qui est le don de l’être de la part du Créateur, nous le recevons dans un enfer ! Est-ce que c’est vraiment un don d’amour de nous faire exister dans la vie des hommes ? Il n’y a qu’à lire la littérature humaine toute entière, cette grande plainte de l’existence humaine. Est-ce ta question ?

Q : C’est presque cela : n’y-at’il pas une souffrance dans el fait de recevoir ? Y-a-t’il un Tikoun à apporter à cela ?

R : La question est la suivante : Recevoir tant qu’on n’a pas mérité c’est l’enfer ! Le verset dit : Tsadik Soneh Matanot: le juste haït les cadeaux. Chez les nations au contraire ce don de l’être est une grâce reçue. Mais le fait d’avoir reçue sans l’avoir mérité c’est l’enfer ! Et alors on refuse. Cela s’apelle Zivoug deAka’h une union de répulsion. Celui qui reçoit renvoie et refuse. Jusqu’à ce que le va et vient de la lumière Or Yashar et Or ‘Hozer fait que le véhicule de réception suffisamment affiné pour être capable de recevoir.

Je vous dis au niveau du Talmud comment ceci est enseigné : celui qui reçoit donne plus à celui qui donne.

Par exemple : je vous parle. Je suis sujet vous êtees objet. Il faut qu’il se passe quelque chose de réciproque, la restauration de la dignité d’autrui comme dirait Kant. Vous devez recevoir d’une certaine maniére qui restitue ma dignité de donneur, mais je dois donner d’une manière qui restitue votre dignité de receveur. Sinon il y a refus. C’est pour cela que de temps en temps je vous fais rire… 

 

C’est Ratson Lehashpiâ רצון להשפיע  et Ratson Leqabel רצון לקבל  . 

 

Et il y a les 4 niveaux :

Ratson leqabel al menat leqabel : recevoir pour recevoir.

Ratson leashpiâ al menat leqabel : donner pour recevoir.

Ratson leashpiâ al menat lehaspiâ : donner pour donner.

Ratson leqabel al menat lehashpiâ: recevoir pour donner.

 

***

 

Voilà que la lumière revenue dans ce ‘Hallal va rencontrer des niveaux de vide. Parce que ce vide n’est pas complétement vide. Lorsque la lumière s’est retirée, elle s’est retirée en laissant un trace qui s’appelle Réshimou. Elle a laissé une trace des étapes du vide. Entre le centre et la périphérie, on est plus ou moins loin de la lumière. Et donc, les étapes du vide ne sont pas neutres. Le vide n’est pas homogène et n’est pas complétement vide. Il y a des niveaux du vide. Lorsque le rayon repénètre il va s’irradier en sphères dans ces niveaux de vide, et c’est là qu’apparaissent les sphères qu’on appelle en hébreu les Séfirot. (Je crois que c’est une coïncidence, je ne sais pas si sphère et Séfirah sont de même racine.)

 

Apparaissent donc des sphères de cette lumière diminuée qui vont constituer la 1ère structure du monde qu’on appelle Séfirot. Plus ou moins la sphère est éloignée de la périphérie de lumière, et plus ou moins elle est noble. Alors cette hiérarchie des 10 Séfirot c’est la hiérarchie de proximité avec la lumière de l’absolu. Je ne vous parlerais pas des Séfirot sinon vous dire que ces Séfirot sphériques sont la racine du monde de la nature, l’être impersonnel du monde. Cela ne veut pas dire que l’être personnel n’est pas enfoui dans cette lumière impersonnelle, mais c’est le côté impersonnel de la lumière qui est dans les Séfirot circulaires.

Nous avons donc une première structure du monde : le cercle.

La perfection du cercle c’est la perfection de l’être impersonnel. La nature est circulaire. Nous verrons que la droite c’est l’être de l’homme. Tout le problème c’est la relation entre l’homme et la nature, c’est-à-dire la droite et le cercle, le mystère du nombre Pi.

 

Dans l’existence de ce que seront les mondes, s’il y a polarisation sur le cercle, c’estle pôle féminin. S’il y a polarisation sur la droite c’est le pôle masculin. Je ne pousse pas le symbolisme plus loin mais il est clair. Il y a donc une relation à différents niveaux entre la droite et le cercle qui est la dialectique de l’existence de ce monde qui va apparaitre. C’est le mystère du nombre Pi.

 

La forme de la vie est toujours un compromis entre le cercle et la droite. Le mystère du nombre Pi est toujours le mystère de la vie. C’est El Shaddaï qui est d’ailleurs le nom de la Séfirah Yessod pour ceux qui savent les correspondances. C’est ce compromis entre le cercle et la droite, qui est inchiffrable et innommable, qui est le vivant, lorsque l’homme et la nature ont résolu leur incompatibilité, parce qu’il a là l’incompatibilité entre le monde de l’impersonnel et le monde de la personne. Tout le problème de la philosophie juive c’est de savoir si Dieu se perçoit à travers les cercles ou à travers la droite. S’il se perçoit à travers les cercles, c’est le Dieu de la nature et l’homme est perdu dans cette nature. S’il se perçoit à travers la droite, c’est le Dieu d’Israël, c’est le Dieu de l’homme, c’est le Dieu de Judah Halévi, le Dieu de Abraham de Isaac et Jacob.

Tout ce conflit du moyen-âge c’est le conflit entre la droite et le cercle.

Les Goyim ont connu ce problème :

Qui est le plus parfait des deux, le cercle ou la droite ?

 

…/…

lire la suite

 

*****

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commentaires

C
<br /> Blog(fermaton.over-blog.com),No-3, THÉORÈME de L'ARBRE. - LA vie et le nombre PI .<br />
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P
<br /> <br /> merci<br /> <br /> <br /> <br />
(
<br /> Voir mon blog(fermaton.over-blog.com),No-14. - THÉORÈME PI  !. - LE NOMBRE Pi ? TRANSCENDANT ? RATIONNEL ? ENTIER ?.<br />
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